ON ARRIVE AU BOUT... du Boutillon
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L'avantage de notre batardeau c'est qu'ils ont plutôt besoin de bottes... car ils ont souvent les pieds dans le plat.
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Donc aucune chance de s'en tirer en cas de lames plus affûtées!
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En fait si une lame dépasse le batardeau cela s'appelle un tsunami...
La zone de chantier est entièrement protégée par le batardeau à une cote Xynthia +1 sur toute la périphérie. L'eau ne rentre que par l'éclaboussure des vagues (franchissement) et que les pompes rejettent constamment...
Dans ces conditions 'terrestre' de travail le gilet n'est pas utile, tout simplement. Sinon dans les conditions plus aquatique ils ont un gilet d'urgence (cartouche CO2 de gonflage).
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J'aime mieux ça, car sinon gare à l'inspection du travail!
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Merci Patrick !
Encore une fois, un bel exemple du dessin à la réalisation.Chez nous, à Marseille, sur un chantier maritime, si les batardeaux dépassent le cote +1m, c'est juste pour empêcher les ouvriers de regarder la mer...
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@daredevil said:
Merci Patrick !
Encore une fois, un bel exemple du dessin à la réalisation.Plus laborieux pour mon collègue (dessin des armatures), sur le chantier on attaque le ferraillage, après avoir planté les palplanches et avant recépage.
@daredevil said:
Chez nous, à Marseille, sur un chantier maritime, si les batardeaux dépassent le cote +1m, c'est juste pour empêcher les ouvriers de regarder la mer...
Oui, ben ici c'est juste l'inverse
pourtant Marseille ce n'est pas l'antipode... -
Bonjour a tous,juste un clin d’œil a Patrick pour signaler la parution d'un article sur le sujet ici: http://www.courrierdelouest.fr/actualite/ile-de-re-6-ans-apres-xynthia-le-combat-de-lentreprise-angevine-contre-la-mer-26-02-2016-258131
Cordialement.Morkian
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Les éléments déchaînés!
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@morkian said:
Bonjour a tous,juste un clin d’œil a Patrick pour signaler la parution d'un article sur le sujet (...)
Bonjour Morkian,
merci pour la réf. que l'on ajoute à notre book. Surprenant cet article, plutôt élogieux. La personne a peut-être fait un tour sur le chantier et s'est rendu compte de l'ampleur du chantier face à la mer qui tue le temps en tambourinant le batardeau...Quand il est question de la digue du Nouleau, on l'a fait mais cela nous a servi de leçon... Parfois on reculait pour avancer.... passer deux heures à nettoyer les algues que la mer va te renvoyer quatre heures plus tard....
On y est arrivé et bien semble-t-il.
Travailler avec la mer ce n'est pas évident. -
Un article moins récent mais une vidéo intéressante
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/2014/10/26/ile-de-re-les-travaux-de-reconstruction-de-la-digue-du-boutillon-continuent-578334.html -
Où comment de la sauce tomate fait le mur de l'Atlantique!
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